Salut vous tous ! Mon nom est Dre, ou André-Laurence est vous avez un peu de temps. Je suis un explorateur passionné, un passionné de photographie et un surfeur passionné. Il y a six mois, j'ai déménagé de Tofino - que je considère maintenant comme ma ville natale, bien qu'ayant grandi dans la ville enclavée de Québec - à la côte ouest de l'Australie. Comme la plupart d'entre nous, je n'aime pas particulièrement les 30 heures de vol et plus. C'est pourquoi sur mon chemin, j'ai fait quelques arrêts pour partager des vagues et des aventures avec certains des gars les plus malades que je connaisse. Ainsi, sur le chemin de l'Australie, des vagues et des aventures ont eu lieu au Portugal (la nourriture la moins chère et la meilleure que vous puissiez trouver en Europe), au Maroc (une quantité incroyable de points de rupture à droite, mais nécessite la bonne quantité de houle) et à Budapest ( ouais, on s'est un peu perdus), en Indonésie (passez le moins de temps possible sur Bali si vous y allez, c'est un vortex). De là, c'était un court saut jusqu'à la terre promise de l'Australie occidentale. Laissez-moi vous dire une chose ou deux sur Down Under.
Pourquoi ai-je fait le déplacement ?
C'était facile. En fait, je suis presque sûr que ne pas bouger aurait été plus difficile que de le faire. Primo, le surf est bon pratiquement toute l'année avec un temps généralement agréable oscillant au-dessus de 20 degrés pendant la majeure partie de l'année. Secundo, et c'est un gros problème : obtenir un visa vacances-travail en Australie prend environ dix minutes et est un processus très simple. Thirdo, Kangourous. Ils sont malades ! En bout de ligne, vous pouvez surfer sur votre cerveau tous les jours sans vous ruiner complètement. À cet égard, l'Australie est la terre promise pour vivre une simple fesses de surf vie. C'est vraiment le paradis du surf.
La vie ici.
Je vis dans ce petit bijou d'une ville appelée Margaret River depuis six mois. L'endroit est empreint de bonnes vibrations et ses habitants comprennent les piliers d'une vie bien vécue : bon café, surf, pêche et vin (187 caves de la région, dont certaines produisant des bouteilles de classe mondiale). C'est sans parler du temps magnifique et des paysages incroyablement dénudés de la région. Et comme il le ferait, l'ambiance des gens ici est aussi belle que les décors naturels. Tout le monde est décontracté et accueillant, pieds nus à l'épicerie, cheveux brûlés par le soleil, tout sourire et prêt à engager une conversation avec à peu près n'importe qui à tout moment.
De plus en plus, Margaret River m'apparaît comme une parente proche de Tofino, en Colombie-Britannique. C'est peut-être pour ça que je l'aime tant.
Cela étant dit, c'est indéniable : l'attraction principale ici pour moi, ce sont les vagues. Margaret River est située en plein milieu d'un cap de 135 kilomètres qui s'avance dans l'océan depuis le continent australien. Cette portion de côte incroyablement riche en vagues s'appelle le cap à cap et a une quantité d'options de surf qui est difficile à comprendre. Avec des plages orientées dans toutes les directions, il y a toujours un endroit à vérifier, peu importe ce que font la houle et le vent, et la variété de styles de vagues est infinie, du beach break aux récifs éplucheurs en passant par les dalles vraiment terrifiantes. En plus de cela, l'ambiance dans l'eau est presque toujours amicale et les dauphins abondent. Difficile de surfer une session sans partager quelques vagues avec ces sympathiques cétacés.
Et après ?
Je vis en quelque sorte de semaine en semaine en ce moment, donc c'est délicat. Mais définitivement plus de surf, plus d'explorations autour d'OZ, plus de photos et plus de plaisir !
Edité par : Jules Sabourin
Photos : @rikegoedecke //@dreday_14
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